lelymphome nerveux, qui touche le système nerveux et plus particulièrement la moelle épinière ; Le lymphome nasal, qui touche le nez du chat ; Le lymphome cutané, qui attaque la peau du chat (plaques, nodules, ulcères). Lorsque le cancer touche plusieurs organes à la fois, on parle de lymphome multicentrique. Par les Drs Riedinger spécialiste en chirurgie et Prélaud spécialiste en dermatologie Bambi, un chat mâle castré de 13 ans, est présenté en consultation de dermatologie pour une lésion progressive de la truffe. A l’admission, l’état général est bon et l’auscultation cardio-respiratoire ne présente pas d’anomalie remarquable. La palpation abdominale est souple et non douloureuse. Bambi présentait des lésions érodées du phyltrum et des narines plus marquées à gauche photo 1 et 2. Les nœuds lymphatiques locorégionaux ne présentent pas d’hypertrophie significative à la palpation. Photo 1 aspect de la lésion lors du diagnostic Photo2 aspect de la lésion juste avant l’intervention chirurgicale Excepté un hématocrite et une numération plaquettaire dans les limites inférieures, le reste de l’examen hématologique et biochimique est dans les valeurs usuelles. Le diagnostic différentiel pour ce type de lésions de la truffe inclut avant tout une néoplasie et en premier lieu un carcinome épidermoïde, mais aussi une infection fongique ou bactérienne ou des lésions inflammatoires. Une biopsie de la lésion a confirmé la suspicion de carcinome épidermoïde de la truffe avec une infiltration de l’hypoderme. Un bilan d’extension TNM est réalisé afin de déterminer le stade clinique. Les radiographies du thorax et un scanner de la tête ne mettent pas en évidence d’extension du processus tumoral. Le stade clinique du carcinome de Bambi est donc T2 N0M0. Photo 3 scanner, vue sagittale de la tête post contraste mettant en évidence un rehaussement léger au niveau de la truffe flèche sans extension notable aux tissus périphériques et profonds. Une exérèse large de la lésion a été entreprise après longue discussion avec la propriétaire sur le résultat cosmétique des truffectomies. Au cours de la résection, des marges de 5mm au minimum ont été respectées sur tout le pourtour du planum nasale. Les cornets nasaux sous-jacents ont aussi été réséqués photo 3. Après contrôle de l’hémostase, des points simples cutanéomuqueux à l’aide de monofilament résorbable ont été mis en place photo 4. Photo 4 photographie peropératoire mettant en évidence une résection large avec retrait des cornets nasaux sous-jacents. Photo 5 aspect post-opératoire immédiat après la mise en place de suture cutanéo-muqueuses Le lendemain de l’intervention, Bambi présente une légère dyspnée inspiratoire contrôlée par le retrait des caillots de sang à l’entrée de la cavité nasale. Deux jours après l’intervention chirurgicale, Bambi a pu être rendu à sa propriétaire en bon état général avec une respiration normale. L’analyse histologique de la pièce d’exérèse a permis de confirmer un retrait chirurgical complet avec des marges histologiques de 2 mm. Malgré des marges de 2mm seulement, les propriétaires ont pris la décision de ne pas mettre en place de radiothérapie adjuvante. Lors du contrôle à 15 jours, le chat ne présente pas dyspnée, un léger bourgeonnement de la muqueuse est présent dans la narine gauche photo 6. Photo 6 aspect à 15 jours postopératoire mettant en évidence une légère prolifération de la muqueuse dans la narine gauche Discussion Le développement de carcinome épidermoïde UV induit est lié à l’exposition chronique aux rayons du soleil, à l’absence de pigmentation et à la faible épaisseur du pelage de certaines régions du corps. Dans ce cas, les carcinomes épidermoïdes sont généralement précédés par une lésion de kératose actinique. Une mutation du gène suppresseur de tumeur P53 est rapportée dans 53% des chats atteints. La prévalence chez le chat varie fortement et semble être lié à la localisation géographique, les taux les plus forts étant rencontrés dans les zones subtropicales ou tropicales. L’âge moyen des chats atteints est de 12 ans. La majorité 80 % des lésions sont localisées au niveau de la face bords libres des pavillons auriculaires, paupières et planum nasale. Environ 30 % des chats atteints présentent des lésions multiples sur la face. Les chats blancs présentent un risque 13 fois supérieur comparé aux autres chats de développer un carcinome épidermoïde. Les siamois sont généralement sous représentés en raison de la pigmentation de leur peau. Les lésions rencontrées peuvent être érosives ou prolifératives. Les lésions érosives sont les plus fréquentes chez le chat et progressent d’une simple lésions crouteuse à une ulcération profonde. Les lésions prolifératives, plus rares chez le chat, se caractérisent généralement par des lésions en plaques ou florides associées à de l’alopécie, de l’érythème ou des croûtes. Les lésions de la face chez le chat sont généralement agressives localement mais ont une faible tendance à métastaser nœuds lymphatiques et poumons ou tardivement dans l’évolution de l’affection. Le stade clinique est déterminé à l’aide du système TNM tabeau 1 et est un facteur pronostique important pour la réussite du traitement. stage description T Tumeur primaire Tis Carcinome in situ ne dépassant pas la lame basale T0 Pas de tumeur évidente T1 Tumeur <2cm, superficielle ou exophytique T2 Tumeur entre 2 cm ou avec invasion minime quelque soit la taille T3 Tumeur <5cm ou avec invasion du tissu sous-cutané T4 Tumeur avec invasion du fascia profond, des muscles, de l’os ou du cartilage N Nœuds lymphatiques NL régionaux N0 Pas d’évidence d’implication du nœud lymphatique régional N1 Atteinte du NL ipsilatérale toujours mobilisable N2 Atteinte du NL controlatéral toujours mobilisable N3 NL fixe M Métastase M1 Absence de métastase M2 Présence de métastase Tableau 1 classification TNM des tumeurs épithéliales selon l’OMS L’examen cytologique calque cutané pour les lésions ulcérées est très utile afin d’orienter le diagnostic. Cependant, le diagnostic définitif ne peut être établi qu’après la réalisation de biopsies et examen histologique. En raison de la faible tendance à métastaser, le contrôle local efficace de la tumeur offre une espérance de vie prolongée. L’exérèse chirurgicale est le traitement le plus fréquent pour les carcinomes épidermoïdes. L’efficacité de celle-ci augmente si l’intervention est réalisée précocement sur des tumeurs de petite taille. L’exérèse chirurgicale large donne les meilleurs pronostics pour les lésions supérieures à 2 cm. Une médiane de survie de 2 ans environ est rapportée après une truffectomie ou une amputation du pavillon de l’oreille chez le chat. Plus de 80% des chats avec un carcinome invasif traité avec résection large ne présentent pas de récidive à un an. La plupart des propriétaires trouvent les résultats cosmétiques acceptables chez le chat après la résection du planum nasale ou amputation du pavillon externe de l’oreille. Pour les lésions impliquant les paupières, une exérèse large associée à une technique de reconstruction peut être utilisée pour permettre un contrôle local de la tumeur. Pour les lésions inférieure à 2 cm et superficielles, un traitement alternatif peut être envisageable. La cryothérapie est réservée aux lésions superficielles de petite taille. Une rémission entre 70-80% est rapportée avec une médiane de survie de 2 ans environ. La thérapie photodynamique a été décrite avec plusieurs photosensibilisants. Une réponse complète est observée dans 100% des stades T1 alors que seul 58% des stades T2 présentent une réponse complète. Le caractère invasif semble affecter nettement l’efficacité du traitement photodynamique. La plésiothérapie au strontium 90 est également décrite avec un taux de contrôle de 80% environ pour des lésions superficielles. La radiothérapie peut permettre de conserver la truffe dans certaines conditions, mais son efficacité dépend également du stade clinique. La médiane de survie rapportée est de 12 à 16 mois. D’autres techniques sont également utilisées avec succès chimiothérapie intralésionnelle, imiquimod topique, lasers, hyperthermie… L’inconvénient de ces techniques alternatives est qu’elles ne permettent pas une évaluation des marges. Dans notre cas, le caractère infiltrant de la lésion a conditionné le choix pour une intervention chirurgicale agressive avec résection du planum nasale avec des marges de 5mm. L’efficacité de la radiothérapie post-résection chirurgicale n’a pour l’instant pas été explorée à grande échelle pour les lésions infiltrantes chez le chat. Son utilisation lors de marges chirurgicales semble donner des résultats satisfaisants. Malgré le caractère invasif de la truffectomie, son résultat cosmétique est généralement très bien perçu par les propriétaires. Elle permet dans la grande majorité un contrôle local de la tumeur sans avoir recours à des thérapies adjuvantes. Cesdeux pathologies peuvent causer la congestion du nez chez le chat. Dans les deux cas, les symptômes suivants peuvent être observés [1]: Des éternuements; Des sécrétions nasales; Un nez congestionné; Une perte d'appétit. 2 Reconnaissez les causes communes du nez bouché. Il existe une variété de facteurs pouvant être à l'origine Carcinome cholangiocellulaire chez le chat Les carcinomes du canal biliaire sont une forme agressive de cancer, avec des métastases survenant chez 67 à 88 % des animaux affectés. Ils sont historiquement difficiles à éliminer complètement par voie chirurgicale. Ce cancer malin se développe généralement à partir de l’épithélium, le revêtement cellulaire des canaux biliaires hépatiques du foie, et se produit plus souvent dans les canaux biliaires intra-hépatiques à l’intérieur du foie que dans les canaux biliaires extra-hépatiques à l’extérieur du foie. Les complications de cette maladie comprennent l’incapacité de la bile à passer dans les canaux biliaires en raison de la masse de tissu qui bloque le canal, et des métastases dans les poumons, les ganglions lymphatiques du foie et le péritoine paroi abdominale. En raison de la tendance du carcinome à se métastaser largement, il peut également se propager à d’autres ganglions lymphatiques régionaux, comme le diaphragme la fine paroi musculaire qui sépare la cavité thoracique de la cavité abdominale, les intestins, le pancréas, la rate, les reins, la vessie et les os. Il s’agit d’une forme particulièrement maligne de cancer. Par conséquent, les animaux atteints de cette maladie ont généralement un pronostic réservé à mauvais. Le carcinome du canal biliaire est le type de cancer du foie le plus fréquent chez le chat. Bien que son incidence ne semble pas être liée à la race, on a constaté qu’il était plus fréquent chez les femelles et chez les chats âgés de dix ans ou plus. Symptômes et types Souvent, les chats atteints de cancer du canal biliaire ont un abdomen rond ou gonflé, ce qui peut être dû à une hypertrophie du foie ou à la présence de liquide dans l’abdomen. Les autres symptômes courants associés à la maladie sont les suivants Manque d’appétit Manque d’énergie Besoin excessif d’uriner et de boire Vomissements Peau jaune et/ou blanc des yeux jaune suite à un dysfonctionnement de la bile Causes Possiblement dû à des infestations parasitaires Relation présumée avec une exposition environnementale à des substances cancérigènes Diagnostic Votre vétérinaire procédera à un examen physique complet de votre chat, en tenant compte des antécédents des symptômes que vous avez fournis et des incidents possibles qui ont pu conduire à cet état comme l’exposition à des toxines. Après l’examen initial, votre vétérinaire demandera un profil sanguin chimique, une formule sanguine complète, une analyse d’urine et un bilan électrolytique. À partir de ces éléments, votre vétérinaire vérifiera la présence d’enzymes hépatiques élevées, dont la confirmation indique que le foie est enflammé ou endommagé et que des enzymes se déversent dans la circulation sanguine. Un profil de coagulation sera également demandé pour vérifier si le sang de votre chat coagule correctement. Des radiographies permettant de visualiser l’abdomen et le foie seront effectuées pour localiser le carcinome. Une échographie abdominale sera également nécessaire pour observer la texture et la taille du foie et des organes abdominaux environnants. Si votre vétérinaire soupçonne un cancer, les poumons devront être examinés à l’aide d’une radiographie, car ce type de carcinome est connu pour avoir un taux élevé de métastases, affectant généralement les poumons et les ganglions lymphatiques. Si un cancer est suspecté, il sera nécessaire pour votre vétérinaire d’effectuer une biopsie du foie afin de le confirmer. L’échantillon peut souvent être prélevé par aspiration à l’aiguille fine, mais dans certaines circonstances, le médecin peut avoir besoin d’un échantillon de tissu plus important et devra pratiquer une intervention chirurgicale simple pour le prélever. Cette opération peut être réalisée à l’aide d’un laparoscope, un outil de diagnostic tubulaire équipé d’une caméra et d’une pince pour prélever les tissus, et qui est inséré par une petite incision chirurgicale dans la cavité abdominale. L’échantillon de tissu prélevé sera envoyé pour une analyse en laboratoire. De même, si votre chat a du liquide dans l’abdomen, votre vétérinaire en prélèvera un peu pour l’envoyer au laboratoire pour analyse. En attendant les résultats de ces tests, votre vétérinaire traitera les symptômes de votre chat comme il convient. Traitement La chirurgie pour enlever le cancer du foie est le traitement de choix. Jusqu’à 75 % du foie peut être enlevé si le tissu hépatique restant est normal. La chimiothérapie n’est généralement pas indiquée, car elle ne s’est pas avérée être un traitement efficace chez les chats. Même avec une chirurgie réussie et peu ou pas de métastases dans le corps, le pronostic reste faible. Vie et gestion Vous devrez retourner chez votre vétérinaire pour des examens de suivi tous les deux mois après les soins initiaux. Votre médecin mesurera l’activité des enzymes hépatiques dans le sang et vérifiera l’état du foie et des organes de votre chat à l’aide de radiographies thoraciques et d’une échographie abdominale. Copyright 2020 HaustierWiki. cancerdu nez du chat. Connexion: Contact: Accueil; Nouvelle discussion; Races; Départements « cancer du nez du chat » Consultez également les autres discussions qui parlent de Santé. 28/12/2014 à 19:52:31: esmeralda: J'ai recueilli une chatte sauvage, qui a le cancer du nez du peux l'attraper, ni l'approcher trop près, Les tumeurs ou la leucémie affectent un chat sur cinq, avec des conséquences graves pour l' des cellules qui se développent de façon atypique et se divisent sans contrôle sont une menace pour chaque être vivant. Savoir quels types de cancers sont les plus communs chez les chats peut donc aider à les prévenir. Le cancer est la principale cause de décès chez les chats, et un chat sur cinq est susceptible d’en souffrir, c’est pourquoi il est important de savoir le détecter dès qu’apparaissent les premier signes de la maladie. Les masses ou tumeurs se forment lorsque les cellules se multiplient trop rapidement. Ainsi, elles seront malignes ou bénines en fonction de cette vitesse et de leur capacité à envahir d’autres tissus ; elles peuvent également être divisés en sarcomes ou part, on observe de nombreux cas de leucémies chez les chats ; c’est un cancer qui affecte la moelle osseuse, au sein de laquelle les cellules sanguines sont fabriquées. Cela provoque l’apparition d’un grand nombre de cellules atypiques dans le sang, et la croissance anormale des lymphocytes, une cellule sanguine qui conduit à un apparaissent-ils ?La prédisposition génétique, l’exposition aux rayons du soleil ou les agents chimiques cancérigènes peuvent déclencher différents types de cancer chez les infections telles que le virus de la leucémie féline ou le virus de limmunodéficience féline, favorisent le développement de certains types de cancer chez les chats. Heureusement, ces deux virus sont faciles à la prévention n’est pas toujours simple. Faiblesse et perte de poids, manque d’appétit, grosseurs sur la peau ou en dessous, saignements, changements au niveau des yeux ou plaies qui ne guérissent pas, nécessitent une visite urgente chez le vétérinaire. Des miaulements étranges, une fourrure dans de mauvaises conditions ou de l’agitation en continue indiquent, également, que quelque chose n’anormal se rayons X, les échographies, les biopsies chirurgicales ou à l’aiguille, ainsi que les ponctions à l’aiguille fine aident à détecter différents types de cancer chez les chats. Les tests sanguins sont une routine qui doit être effectuée périodiquement, en particulier chez les chats ayant déjà atteint un certain âge. La Tomographie Axiale Informatisée CAT et l’Imagerie par Résonance Magnétique sont des techniques sophistiquées IRM ; elles permettent de confirmer le diagnostic et permettent de planifier le meilleur types de cancers les plus fréquents chez les chatsLe lymphome ou lymphosarcome est le cancer le plus commun chez les chats ; la tumeur solide provient du globule blanc appelé lymphocyte, lié au système immunitaire. Elle peut apparaître dans plusieurs endroits à la fois les ganglions lymphatiques, la cavité thoracique, le tractus gastro-intestinal, la cavité nasale, les reins et le système chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie sont les options de traitement, et dans ces cas, la réponse du félin peut être très favorable. Il n’est pas toujours facile de traiter un chat atteint de cancer, mais sa qualité de vie devrait être votre part, le carcinome épidermoïde affecte la peau, et les rayons du soleil sont ses déclencheurs. La tumeur affecte généralement le nez ou les oreilles, et elle peut ressembler à une égratignure ou à une plaie qui ne guérit pas correctement ; la métastase n’est cependant par récurente pour ce type de même, le carcinome mammaire affecte les glandes mammaires, souvent chez les femelles en condition de procréer, bien que les glandes stérilisées ne soient pas épargnées ; et les mâles non plus. Les nodules multiples ou les zones enflées et durcies doivent vous alerter. Cette pathologie peut se propager au niveau des ganglions lymphatiques locaux et des le traitement précoce des nodules simples et de petite taille fait la différence. L’extirpation de la tumeur et des tissus adjacents, et parfois la chimiothérapie, sont des mécanismes de combat très graves et facteurs agravants ; soyez vigilants Le mastocytome affecte la peau, la rate ou les intestins, où il est généralement très agressif, car il provoque une obstruction. Il métastase facilement, en particulier dans les ganglions lymphatiques, les poumons, le foie ou la rate. La chirurgie, la radiothérapie ou la chimiothérapie sont des options curatives pour ce cas. Le carcinome épidermoïde oral provient des cellules qui tapissent la bouche ou la gorge. Il affecte la langue, et envahit parfois les os et les ganglions lymphatiques, provoquant généralement des difficultés au niveau de l’alimentation, de la salivation et de l’halitose. Il convient de noter qu’il est difficile à traiter. Le fibrosarcome ou sarcome des tissus mous. Il est formé à partir de tissus conjonctifs, sous la peau. La combinaison de la chirurgie avec la radiothérapie et la chimiothérapie est recommandée ; le pronostic est variable. L’ostéosarcome affecte les os au niveau des extrémités, de la colonne vertébrale ou du crâne. Il génère des fractures, beaucoup de douleur et une démarche boiteuse, et peut se propager aux ganglions lymphatiques et aux poumons. Encore une fois, la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie peuvent être une solution. Au niveau des poumons Le carcinome respiratoire, nasal ou pulmonaire est le plus fréquent au niveau du museau et des poumons. Il provoque des difficultés à respirer, à renifler, à éternuer, à tousser et à produire des sécrétions nasales. Il peut se propager dans les os et, lorsque les symptômes cliniques apparaissent, il a en général déjà métastasé. La chirurgie et la chimiothérapie sont tout de même des alternatives efficaces. Les adénocarcinomes affectent le gros intestin et l’interstin grêle, qu’ils peuvent envahir largement. Ils progressent très vite, entraînent une perte d’appétit et de poids, des vomissements et des diarrhées. En outre, ils s’étendent généralement aux ganglions lymphatiques locaux. Le traitement indiqué est l’intervention chirurgicale. Les adénocarcinomes pancréatiques et hépatiques des voies biliaires ne sont pas très fréquents. Ils provoquent la jaunisse, la dépression, la perte de poids, des vomissements et une distension abdominale. Le pronostic vital est, malheureusement, généralement compromis. Cela pourrait vous intéresser ...

Contrairementà la stérilisation qui empêche tout simplement la fécondation, la castration est beaucoup plus intéressante pour beaucoup dans la mesure où elle impactera le comportement de votre chat. Figurez-vous que les chats castrés sont considérés plus calmes et plus affectueux ! De plus, le marquage urinaire diminue fortement.

DolceAdminNombre de messages 591Age 41Localisation Valence/MontélimarDate d'inscription 14/01/2007Sujet Tumeurs et cancers chez le chat Mar 30 Jan - 1428 Tumeurs et cancers chez le chatL'allongement de l'espérance de vie des chats s'accompagne de la découverte de cancers en nombre croissant. Les chats ne souffrent-ils pas, comme nous, des nuisances de la vie moderne, pollution et maître fumeur ? Une tumeur, prolifération anarchique de cellules, peut être bénigne ou maligne ; une tumeur maligne est un cancer. Dans l'espèce féline, les cancers sont 6 fois plus fréquents que les tumeurs bénignes, et ce dès l'âge de 3 ans. Dans l'ensemble de la population féline, les tumeurs cutanées sont les plus fréquentes ; elles sont suivies par les tumeurs mammaires, puis celles de divers tissus mous. La fréquence des tumeurs de ganglions et des lymphosarcomes est directement liée au taux d'infection par le virus leucémogène félin. Les symptômes du cancer dépendent de l'organe touché, de la vitesse d'évolution de la tumeur, de son caractère localement envahissant ou de sa capacité à faire des métastases, de ses incidences à distance tumeur d'une glande endocrine, par exemple. Quelques signes d'appel peuvent toutefois attirer votre attention et vous inciter à demander l'avis du vétérinaire traitant de votre chat. Car une affection néoplasique un cancera deux sortes d'effets des effets locaux, boule ou grosseur visible ou palpable, destruction de l'organe, compression des organes voisins ou répercussion fonctionnelle ; mais aussi des effets à distance, par excès ou insuffisance de production d'une hormone, ou production de substances par la tumeur elle-même. Divers signes, quoique non spécifiques, attirent l'attention du clinicien et le conduisent à envisager l'hypothèse d'un cancer amaigrissement, augmentation de la soif ou de l'appétit, convulsions, toux, saignements internes ou externes. Un vétérinaire qui suspecte une tumeur cancéreuse a souvent besoin d'effectuer des examens complémentaires pour préciser ou confirmer son diagnostic radiographie, échographie et d'autres techniques plus élaborées et plus coûteuses scanner.... Le vétérinaire a aussi recours à des examens au microscope liquide d'épanchement ou tissus prélevés. Chez l'animal, le traitement des tumeurs cancéreuses reste essentiellement chirurgical. En complément de la chirurgie ou en traitement unique, la chimiothérapie est parfois employée. Quant à la radiothérapie, associée à d'autres thérapeutiques chirurgie et/ou chimiothérapie et à l'immunothérapie, ce sont aujourd'hui des voies nouvelles, intéressantes mais en cours d'exploration. L'étude des cancers du chat offre un intérêt particulier en pathologie comparée. En effet, la leucose féline, due à une infection par le est une des maladies les plus anciennement connues pour lesquelles les chercheurs ont pu démontrer une relation de cause à effet entre infection virale et développement de tumeurs. Les lymphosarcomes sont les tumeurs les plus fréquemment associées à l'infection par le virus leucémogène félin. Quant au virus de l'immunodéficience féline, s'il n'est pas reconnu comme étant lui-même oncogène c'est-à-dire induisant le développement de tumeurs, il augmente chez les chats infectés la fréquence de certains cancers lymphosarcomes, tumeurs myéloïdes, sarcomes. Le cancer de l'oreille du chat blanc Les chats à oreilles blanches fréquemment exposés au soleil courent un grand risque de développement de tumeur cancéreuse. L'irritation chronique par la lumière solaire évolue progressivement vers le développement d'un cancer, un épithélioma spinocellulaire. Cette tumeur atteint généralement les chats à oreilles blanches à partir de l'âge de 8 ans. Le bord du pavillon auriculaire est d'abord atteint, puis le cancer s'étend, rongeant rapidement tous les tissus environnants. Gardez donc les chats à oreilles blanches à l'intérieur des habitations pendant l'été, lors des heures d'ensoleillement maximal. Devant un épithélioma de la conque auriculaire débutant, la mesure d'urgence à prendre est l'exérèse de la tumeur par amputation du bord du pavillon, mais les récidives ne sont pas rares
Latrisomie 13. La trisomie 13, encore appelée le syndrome de Patau, correspond à la présence d’un chromosome supplémentaire sur la 13 ème paire de chromosomes. Elle peut toucher uniquement certaines cellules de l’organisme (forme en mosaïque) ou l’ensemble des cellules (forme complète). Son incidence annuelle est
La rhinoscopie est une technique de diagnostic innovante et peu invasive en pratique vétérinaire utilisée pour examiner et visualiser la muqueuse nasale des chats, des chiens et d'autres espèces animales. Fait référence à des méthodes de diagnostic endoscopiques sûres et efficaces, grâce auxquelles vous pouvez obtenir le résultat le plus précis sur l'état des voies nasales de l'animal. Types de rhinoscopie, technique La technique de la rhinoscopie consiste à utiliser un équipement spécial - des sondes flexibles et rigides endoscopes de différentes tailles. Selon la technique de la rhinoscopie, il arrive antérieur droit, antégrade; arrière rétrograde. Lors de l'examen de la cavité nasale lors d'une rhinoscopie antérieure, le vétérinaire insère l'endoscope du côté des narines de l'animal vers le nasopharynx. À l'arrière, une sonde flexible fibroscope est utilisée avec une caméra sur la pointe, qui est insérée dans la bouche du chat à travers les choanes du côté du nasopharynx. Cette technique vous permet de déterminer l'état du palais mou, du pharynx, du nasopharynx, du vomer. Dans la plupart des cas, lors du diagnostic de la cavité nasale, deux méthodes de rhinoscopie sont utilisées simultanément. Important! La rhinoscopie en médecine vétérinaire est utilisée non seulement pour le diagnostic, mais également lors de procédures médicales. Cette technique est utilisée pour enlever les néoplasmes, les polypes, les kystes dans le nez des animaux. Lors de la rhinoscopie, un spécialiste peut retirer une tumeur, une tumeur de petit diamètre, des corps étrangers qui se trouvent dans les organes supérieurs du système respiratoire, prélever un échantillon de tissu pour culture bactériologique, biopsie ciblée, autres tests, échantillons de diagnostic. Indications de la rhinoscopie chez le chat La rhinoscopie est réalisée chez les chats suspectés d'un certain nombre de pathologies et de maladies des voies respiratoires. Indications pour la rhinoscopie d'un chat rhinite chronique fréquente de nature différente, y compris d'étiologie peu claire; néoplasie cancer, si vous suspectez la présence de tumeurs bénignes, malignes ; sinusite; rhinite allergique sous forme chronique; cloison nasale déviée; polypes nasaux; respiration nasale offensive; écoulement purulent et muqueux du nez; saignements de nez récurrents ; difficulté à respirer par le nez, congestion nasale, crises d'asthme ; fortes quintes de toux, éternuements fréquents; corps étrangers dans la cavité nasale, nasopharynx; exophtalmie protrusion de l'orbite; suspicion d'infections fongiques de la cavité nasale; anomalies congénitales dans la structure de la cavité nasale; conjonctivite unilatérale; hyperplasie épaississement, croissance de la muqueuse nasale. Préparer un chat pour la rhinoscopie Malgré la sécurité de la rhinoscopie, une condition préalable à cette technique d'examen endoscopique est l'anesthésie générale. Pour réduire le risque de complications résultant de l'introduction d'un animal dans un sommeil profond anesthésie, la procédure de diagnostic est réalisée à jeun. Pendant 12 à 24 heures, le chat est maintenu au régime de famine. Pendant 3-4 heures, limitez l'accès à l'eau potable. Une telle préparation est nécessaire pour que lors de l'introduction de médicaments vétérinaires, l'animal ne s'étouffe pas avec du vomi. Avant de fixer la date de la rhinoscopie, le vétérinaire procède à un examen complet du chat. Pour réduire les risques, nous vous recommandons de montrer votre animal à un vétérinaire, un cardiologue, un anesthésiste. Après la procédure, nous ne recommandons pas de ramener le chat à la maison immédiatement, car il n'est pas nécessaire d'exclure d'éventuelles complications provoquées par l'anesthésie léthargie, choc anaphylactique, fièvre. Si nécessaire, le vétérinaire apportera une aide d'urgence à l'animal. Contre-indications à la rhinoscopie chez le chat La rhinoscopie a un certain nombre de contre-indications, parmi lesquelles saignements de nez sévères; pathologies chroniques du système cardiovasculaire; intolérance, incapacité à introduire l'animal en anesthésie âge; organes ORL lésés ; grossesse, allaitement; douleur intense dans les sinus. En cas de contre-indications, le vétérinaire choisira d'autres options de méthodes de diagnostic pour évaluer l'état de la muqueuse nasale et des voies respiratoires supérieures.
Parexemple, le carcinome du chat sur le nez ou les oreilles est plus fréquent chez les chats blancs. Le chat est exposé au risque de développer différents types de cancers tout au long de sa vie, comme bon nombre d’autres animaux d’ailleurs. Le carcinome épidermoïde est un cancer plus fréquemment diagnostiqué chez les chats nus ou
Bien que le cancer du nez cancer nasal soit relativement peu fréquent, il peut diminuer considérablement la qualité de vie du chat affecté. Dans de nombreux cas, les signes précoces du cancer du nez sont indiscernables d’autres maladies. Un chat atteint d’un cancer nasal précoce peut donner l’impression d’avoir simplement une légère infection des voies respiratoires supérieures ou une petite croûte sur le nez. Lorsque le chat présente des signes suffisamment graves ou prolongés pour qu’un bilan plus approfondi soit envisagé, le cancer peut causer des dommages considérables aux voies nasales et même au crâne. Le cancer du nez est donc difficile à traiter. Qu’est-ce que le cancer du nez chez les chats ? Le cancer du nez désigne toute tumeur qui se développe sur le planum nasal la surface extérieure du nez ou à l’intérieur de la cavité nasale. Certaines tumeurs nasales sont visibles sur les surfaces extérieures du nez, tandis que d’autres sont situées en profondeur dans les voies nasales ou les sinus. Les tumeurs nasales sont relativement rares chez les chats, représentant 1 à 5 % de tous les cancers félins. Cependant, ces tumeurs peuvent provoquer des maladies importantes. Environ 90 % des tumeurs nasales sont malignes, ce qui signifie qu’elles peuvent se propager. Cependant, contrairement à d’autres cancers, les tumeurs nasales n’ont pas tendance à former des métastases à distance. Au contraire, elles causent des dommages locaux importants aux tissus qui entourent la tumeur. Dans certains cas, ces tumeurs peuvent envahir le crâne et même affecter le cerveau. Le cancer du nez est généralement diagnostiqué chez les chats d’âge moyen, entre huit et dix ans. Cependant, il peut également survenir chez des chats plus jeunes et plus âgés. Causes du cancer du nez La cause la plus fréquente du cancer nasal félin est le lymphome. Le lymphome est un cancer des lymphocytes, des globules blancs qui font partie du système immunitaire. Il peut affecter de nombreuses régions différentes du corps, dont les voies nasales. Un certain nombre de facteurs augmentent la probabilité qu’un chat développe un lymphome, notamment l’infection par le virus de la leucémie féline FeLV, l’infection par le virus de l’immunodéficience féline FIV et l’exposition à la fumée. On soupçonne également qu’une inflammation chronique puisse jouer un rôle dans le lymphome, bien que cela n’ait pas été définitivement prouvé. Le deuxième type de cancer nasal le plus fréquent chez le chat est le carcinome, qui est une tumeur provenant directement des cellules qui tapissent les voies nasales. Les carcinomes nasaux les plus courants chez le chat sont l’adénocarcinome et le carcinome spinocellulaire SCC. Ces tumeurs peuvent se développer sur la surface interne ou externe du nez. Les chats peuvent également développer des sarcomes, tels que le fibrosarcome, qui affectent le nez. Symptômes du cancer du nez Les signes du cancer nasal félin ne peuvent généralement pas être distingués des signes d’une infection des voies respiratoires supérieures ou d’un autre trouble nasal. Par conséquent, ce n’est souvent que lorsque les signes persistent malgré le traitement qu’une tumeur nasale est suspectée. Les signes cliniques du cancer du nez peuvent être les suivants Éternuements excessifs ou fréquents Écoulement nasal Saignements de nez Ronflement chez un chat qui a toujours eu un sommeil tranquille Gonflement nasal visible ou déformation du visage Se tripoter le visage ou se frotter le visage sur des objets Perte de poids Diminution de l’appétit ou anorexie Si votre chat présente ces signes et que ceux-ci persistent plus longtemps que prévu pour une simple infection des voies respiratoires supérieures, votre vétérinaire peut vouloir commencer à écarter la possibilité d’une tumeur nasale. Diagnostic du cancer nasal chez les chats Examen physique Votre vétérinaire commencera par effectuer un examen physique complet. En plus d’évaluer l’état de santé général et la condition physique de votre chat, il examinera soigneusement son nez, à la recherche de signes d’écoulement et d’asymétrie. Le flux d’air provenant des narines sera évalué et votre vétérinaire pourra examiner les voies nasales de votre chat à l’aide d’une lumière vive. Analyse de sang L’étape suivante du bilan d’un chat présentant des signes chroniques des voies respiratoires supérieures est l’analyse de sang. Une numération globulaire complète et un test de biochimie sérique seront effectués pour rechercher des maladies internes qui pourraient prédisposer votre chat à des problèmes respiratoires. En outre, votre vétérinaire peut tester votre chat pour le virus de la leucémie féline et le virus de l’immunodéficience féline. Ces virus peuvent jouer un rôle dans les signes respiratoires supérieurs de multiples façons ; ils peuvent rendre les chats plus enclins aux infections respiratoires supérieures en supprimant leur système immunitaire, mais ils peuvent aussi rendre les chats plus enclins à développer un lymphome. Après avoir effectué ces tests de base, votre vétérinaire recommandera probablement d’autres examens. Un certain nombre de tests sont susceptibles d’être recommandés chez un chat suspecté d’avoir une tumeur nasale, bien que l’ordre exact de ces tests puisse varier. Les tests recommandés peuvent inclure Radiographies du crâne rayons X Tomographie par ordinateur CT scan ou imagerie par résonance magnétique IRM du crâne. Le rinçage nasal, au cours duquel une petite quantité de solution saline est injectée dans le nez et récupérée pour être évaluée au microscope. La rhinoscopie, qui consiste à introduire une petite caméra dans les voies nasales. Aspiration à l’aiguille fine ou biopsie de la masse, utilisée pour prélever des cellules de la masse en vue d’une évaluation microscopique. Aspiration des ganglions lymphatiques, utilisée pour rechercher des signes de métastases. Plusieurs tests sont souvent nécessaires pour le diagnostic définitif du cancer du nez chez le chat. Traitement du cancer du nez chez les chats Les options de traitement des tumeurs du nez varient en fonction du type de tumeur, de sa taille et de sa localisation. En général, les tumeurs nasales ne peuvent pas être enlevées chirurgicalement. Dans la plupart des cas, il n’y a pas assez de tissu présent dans la zone pour obtenir des marges propres » avec la chirurgie. Le lymphome nasal chez le chat est traité principalement par chimiothérapie, tout comme les autres formes de lymphome félin. Dans certains cas, une radiothérapie peut être recommandée en plus de la chimiothérapie. Cela peut aider à réduire la tumeur, améliorant ainsi la qualité de vie du chat et permettant à la chimiothérapie d’être plus efficace. Les autres tumeurs nasales félines sont traitées principalement par radiothérapie. Dans certains cas, la radiothérapie peut conduire à une guérison complète du cancer du nez. Même si la radiothérapie n’est pas curative, elle peut réduire les lésions et améliorer la qualité de vie de votre chat. La chimiothérapie et la radiothérapie ont toutes deux des effets secondaires. L’oncologue de votre chat vous parlera de ce à quoi vous devez vous attendre avec le traitement de votre chat. Si votre chat n’est pas un bon candidat pour un traitement oncologique, ou si vous refusez ce traitement, votre vétérinaire pourra vous parler des options de soins palliatifs hospice. Conclusion Les signes nasaux chroniques chez les chats peuvent être frustrants car on se demande toujours s’il s’agit d’une infection inoffensive des voies respiratoires supérieures ou de quelque chose de plus sinistre. Si votre chat présente des problèmes graves ou persistants au niveau des voies respiratoires supérieures, tels que des éternuements ou des écoulements nasaux, consultez votre vétérinaire pour obtenir un diagnostic approprié. Bien que le cancer du nez soit relativement rare chez les chats, il peut se produire. Un diagnostic et un traitement précoces se traduiront par de meilleurs résultats pour votre chat ! Questions fréquemment posées Combien de temps mon chat vivra-t-il avec une tumeur du nez ? Le pronostic de votre chat dépendra du type de cancer présent dans le nez. Le temps de survie pour le lymphome, le cancer nasal malin le plus courant, varie de plusieurs mois à plusieurs années. À quoi ressemble un cancer de la peau sur le nez d’un chat ? L’apparence du cancer de la peau sur le nez d’un chat peut varier. Un carcinome spinocellulaire sur le nez d’un chat peut commencer par ressembler à une petite croûte ou à une abrasion, mais avec le temps, la masse commencera à se développer et à gonfler. À quelle vitesse le cancer du nez se développe-t-il chez les chats ? Sans traitement, le cancer du nez chez le chat peut se développer rapidement. Selon le type de cancer présent, la radiothérapie et/ou la chimiothérapie peuvent aider à mettre la tumeur en rémission.
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